5 astuces surprenantes pour ne jamais perdre le focus en match de badminton

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배드민턴 경기 중 집중력 유지 비법 - **Prompt:** A male badminton player, in his late 20s, with a focused and serene expression. He is se...

Chers badistes, avouez-le : cette frustration de voir votre concentration s’envoler en plein point crucial, n’est-ce pas ? On l’a tous vécue ! Le badminton, bien plus qu’une affaire de smashs et de fentes, est un véritable défi mental où la maîtrise de soi fait souvent la différence.

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J’ai moi-même passé des heures à décortiquer mes matchs et ceux des pros, réalisant que le mental est la clé de la performance. Heureusement, garder un esprit affûté sur le court n’est pas un secret inaccessible.

Prêts à muscler votre jeu intérieur ? Je vous révèle toutes les astuces pour une concentration d’acier, match après match !

Préparer son Esprit avant le Volant : Mon Rituel Anti-Stress

La Routine Pré-Match : Votre Zone de Confort Personnelle

Chers amis badistes, on a tous ce moment, juste avant d’entrer sur le terrain, où l’adrénaline monte, et parfois, le doute s’immisce. C’est là que ma routine prend tout son sens.

Je ne parle pas seulement de l’échauffement physique, mais d’une véritable préparation mentale. Personnellement, j’aime arriver un peu en avance, m’asseoir dans un coin tranquille et écouter une playlist spécifique.

Ces musiques ne sont pas là pour m’exciter, mais pour me calmer, me recentrer. Je ferme les yeux et je respire profondément, en me visualisant réussir mes coups, anticiper les trajectoires.

J’ai remarqué que cette petite bulle de concentration, même de seulement dix minutes, change complètement ma perception du match à venir. Elle me permet de passer d’un état de légère anxiété à une confiance sereine, une sorte de bouclier mental que j’active avant même de toucher la raquette.

C’est une habitude que j’ai développée au fil des années, après avoir compris que le match commence bien avant le premier service.

Fixer des Objectifs Clairs et Réalistes pour Chaque Match

L’une des plus grandes erreurs que j’ai faites au début, c’était d’aborder un match sans autre objectif que “gagner”. Croyez-moi, c’est une recette pour la frustration.

Aujourd’hui, je me fixe toujours un ou deux objectifs techniques ou tactiques précis avant chaque rencontre. Par exemple, “améliorer mon revers slicé” ou “être plus agressif sur les points faibles de mon adversaire”.

Ces objectifs secondaires sont des balises qui me permettent de rester concentrée, même quand le score ne tourne pas en ma faveur. Si je perds le set mais que j’ai réussi à travailler mon objectif technique, je ne sors pas du terrain avec cette sensation d’échec total.

Au contraire, j’ai l’impression d’avoir progressé, d’avoir appris. Cela transforme la défaite en une opportunité d’apprentissage et maintient ma motivation à flot pour le prochain match.

C’est une stratégie que j’applique aussi dans la vie, et elle est incroyablement efficace pour garder le moral et avancer.

Gérer les Montagnes Russes Émotionnelles en Plein Échange

Le Point Perdu : L’Art de Tourner la Page Instantanément

Ah, le point perdu ! Cette petite voix agaçante qui vous dit “tu aurais dû faire ça !” ou “quelle erreur stupide !”. Je la connais bien. C’est sans doute l’un des plus grands saboteurs de concentration au badminton. J’ai passé des années à ruminer mes fautes, ce qui me faisait enchaîner les erreurs. Puis, j’ai eu un déclic. J’ai appris à “jeter” le point perdu derrière moi, littéralement. Après une faute, je fais un geste, je secoue ma raquette ou je lâche un petit soupir, et je me dis mentalement “Terminé !”. C’est un mini-rituel qui me permet de réinitialiser mon esprit avant le service suivant. Il faut s’entraîner à cela, car c’est un réflexe qui ne vient pas naturellement. Mais une fois acquis, c’est une liberté incroyable. Finies les spirales négatives ! Je me suis rendu compte que mes performances s’amélioraient drastiquement quand j’étais capable de me concentrer uniquement sur le point *en cours* et le *prochain*, jamais sur le précédent. C’est la clé pour éviter que l’émotion ne prenne le dessus sur la logique du jeu.

Faire Face aux Distractions Externes : Le Public, le Bruit, l’Adversaire

Qui n’a jamais été perturbé par un cri dans les gradins, un sifflement intempestif ou même un adversaire qui râle un peu trop ? Ces éléments extérieurs sont inévitables. Au lieu de lutter contre eux, ce qui est une bataille perdue d’avance, j’ai appris à les accepter comme faisant partie de l’environnement. C’est comme le vent en extérieur : on ne peut pas le contrôler, mais on peut ajuster sa façon de jouer. J’essaie de me créer une “bulle auditive” et visuelle. Quand un bruit survient, au lieu de me focaliser dessus, je ramène mon attention sur la sensation de ma raquette, le grip, la texture du volant. Pour l’adversaire, c’est plus subtil. S’il tente de me déstabiliser, je me dis que c’est le signe que je le gène, et je prends ça comme un compliment ! Cela transforme une potentielle menace en une source de motivation. C’est une forme de pleine conscience adaptée au sport, qui permet de rester ancré dans l’instant présent et de ne pas se laisser emporter par ce qui ne dépend pas de nous.

Le Souffle, Votre Allié Invisible : Maîtriser la Respiration

Respirer Profondément pour Calmer le Système Nerveux

On sous-estime souvent le pouvoir de notre respiration. Quand le stress monte, quand la fatigue se fait sentir, notre respiration devient courte et saccadée. J’ai expérimenté cela des centaines de fois. C’est un cercle vicieux : le stress accélère la respiration, et la respiration rapide augmente le stress. Pour casser ce cycle, j’ai intégré la respiration diaphragmatique, ou “respiration ventrale”, à mon jeu. Entre les points, au lieu de me précipiter, je prends volontairement trois ou quatre grandes inspirations, en gonflant mon ventre, puis en expirant lentement. Cela envoie un signal direct à mon cerveau que tout va bien, que je suis en contrôle. C’est comme appuyer sur le bouton “reset” de mon système nerveux. Non seulement cela réduit le rythme cardiaque, mais cela apporte aussi plus d’oxygène à mes muscles et à mon cerveau, me rendant plus lucide et réactive pour le point suivant. C’est une technique simple, gratuite et incroyablement efficace que tout le monde peut apprendre.

Des Micro-Pauses Respiratoires pour Recharger l’Énergie

Un match de badminton est une succession de sprints et de courtes pauses. Ces pauses, même d’une ou deux secondes, sont précieuses. J’ai appris à les utiliser non seulement pour récupérer physiquement, mais aussi mentalement grâce à des micro-pauses respiratoires. Pendant que mon adversaire se prépare à servir, ou après un échange intense, je ne reste pas figée à fixer le volant. Au contraire, je prends une inspiration un peu plus profonde, une expiration un peu plus longue, en me concentrant sur la sensation de l’air qui entre et sort de mes poumons. C’est une ancre pour l’esprit. Ces mini-moments de pleine conscience me permettent de chasser les pensées parasites, de recentrer mon attention et de relâcher les tensions musculaires accumulées. C’est un peu comme un petit “coup de boost” mental qui me permet de maintenir mon niveau de concentration et d’énergie tout au long des sets, même les plus longs et les plus épuisants.

Visualisation et Affirmations Positives : Les Outils du Champion

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Construire des Scénarios de Succès dans Votre Tête

Avant de monter sur le court, mais aussi pendant les pauses, j’utilise la visualisation. C’est une technique puissante que j’ai découverte en lisant les biographies de grands sportifs. Je ferme les yeux et je me vois effectuer un smash parfait, un amorti chirurgical, ou un placement de volant qui met mon adversaire en difficulté. Je ne me contente pas de l’image ; j’essaie de ressentir la raquette dans ma main, l’impact du volant, le son du cordage. Ces “répétitions mentales” sont d’une efficacité redoutable. Elles préparent mon cerveau à l’action, créent des chemins neuronaux pour les mouvements que je souhaite exécuter. Plus je visualise avec précision et émotion, plus j’ai de chances de reproduire ces gestes en situation réelle. C’est comme répéter une partition avant de jouer un concert. J’ai remarqué que mes services, par exemple, sont bien plus précis et puissants quand je les ai visualisés quelques secondes auparavant.

Les Mots Qui Bâtissent : Vos Affirmations Personnelles

Les mots que nous nous disons ont un impact colossal sur notre performance. Quand j’étais jeune, je me disais souvent “je ne suis pas assez forte pour ça” ou “je vais rater”. Évidemment, mes performances s’en ressentaient. J’ai depuis remplacé ces pensées négatives par des affirmations positives que je me répète régulièrement, surtout quand un coup de mou apparaît. Des phrases simples comme “Je suis concentrée et réactive”, “Chaque point est une nouvelle opportunité”, ou “J’ai la force et la technique pour y arriver”. Ce ne sont pas de la magie, mais un entraînement. Ces affirmations, répétées, deviennent des croyances et transforment la façon dont j’aborde les défis. J’ai même une petite phrase fétiche que je me répète silencieusement après un point difficile pour me remettre sur les rails : “Allez, on y va !”. C’est un petit coup de pouce mental qui fait toute la différence.

L’Art de l’Oubli et de l’Adaptation : Rebondir Après l’Erreur

Accepter l’Erreur Comme Partie Intégrante du Jeu

Soyons honnêtes, personne n’est parfait. On va faire des fautes, c’est inévitable. J’ai mis du temps à comprendre que l’erreur n’est pas un échec, mais une information. C’est comme une boussole qui vous indique où vous devez ajuster votre tir. Si je rate un smash, au lieu de me lamenter, j’essaie d’analyser rapidement : est-ce ma position ? L’angle de frappe ? La lecture de la trajectoire ? En acceptant l’erreur comme une donnée neutre et non comme un jugement sur ma personne, je peux l’analyser froidement et m’adapter pour le point suivant. C’est une mentalité de croissance qui m’a permis de transformer mes faiblesses en forces. J’ai appris à ne pas me juger trop sévèrement, ce qui est une erreur que je vois souvent chez les jeunes joueurs. Le badminton est un jeu de régularité, et la régularité passe par l’acceptation et l’ajustement constant.

S’Adapter Tactiquement : Lire l’Adversaire et Ajuster son Plan

La concentration ne sert pas uniquement à maintenir son niveau de jeu, elle est aussi cruciale pour l’adaptation tactique. Un match n’est jamais figé. Ce qui fonctionnait au premier set ne marchera peut-être plus au deuxième. J’observe constamment mon adversaire : ses points forts, ses points faibles, ses habitudes, son état physique et mental. Est-il fatigué ? Est-ce qu’il a du mal sur son revers ? Est-ce qu’il anticipe toujours mes services courts ? Ma concentration est alors dirigée vers l’analyse de ces informations pour ajuster ma stratégie en temps réel. Parfois, il faut oser changer de plan en plein match, sortir de sa zone de confort. C’est un défi, mais c’est aussi ce qui rend le badminton si passionnant. J’ai gagné des matchs que je pensais perdus simplement parce que j’ai su lire mon adversaire et adapter ma tactique au bon moment.

L’Hygiène de Vie : Le Pilier de la Concentration Durable

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L’Impact Crucial du Sommeil de Qualité

On a tendance à l’oublier, pris dans le tourbillon de nos vies, mais le sommeil est absolument fondamental pour la concentration. J’ai moi-même fait l’erreur de sous-estimer son importance. Les jours où j’avais dormi moins de sept heures, ma capacité de réaction était diminuée, mes prises de décision plus lentes, et ma patience s’amenuisait dangereusement. Les études scientifiques le confirment : un sommeil de qualité restaure nos capacités cognitives, optimise la mémoire et la vitesse de traitement de l’information. Pour moi, cela signifie une meilleure lecture du jeu, une anticipation plus fine et une exécution plus précise des coups. Je vise désormais 7 à 8 heures de sommeil par nuit, surtout la veille d’un match ou d’un entraînement intense. C’est ma potion magique personnelle pour être au top, mentalement et physiquement.

L’Alimentation : Le Carburant du Cerveau et des Muscles

Ce que nous mangeons a un impact direct sur notre énergie et notre capacité à nous concentrer. Un repas trop lourd avant un match, et c’est la somnolence assurée. À l’inverse, un manque de glucides complexes peut entraîner une baisse d’énergie et une difficulté à maintenir son attention. Au fil des ans, j’ai affiné mon alimentation pour qu’elle soutienne ma performance. Je privilégie les glucides à digestion lente (pâtes complètes, riz basmati, patates douces) quelques heures avant l’effort, des protéines maigres et des bonnes graisses. J’évite les sucres rapides et les aliments transformés qui provoquent des pics d’énergie suivis de coups de barre. Mon petit déjeuner type avant un match ? Des flocons d’avoine avec des fruits frais et quelques amandes. C’est un équilibre qui me permet de rester alerte, d’avoir de l’énergie sur le long terme et de ne pas souffrir de fringales inopportunes en plein milieu d’un set crucial.

Devenir un Observateur Conscient : Apprendre de Chaque Échange

Analyser les Tendances de Jeu de l’Adversaire

La concentration sur le court ne se limite pas à sa propre performance ; elle s’étend à la capacité d’observer et d’analyser l’adversaire. J’ai développé l’habitude de noter mentalement les schémas de jeu de mes opposants. Par exemple, est-ce qu’il a tendance à toujours renvoyer un volant court après un smash puissant ? Est-ce qu’il préfère les volants croisés ou droits ? Quels sont ses coups les plus sûrs et ceux où il prend des risques ? Cette observation constante est une source précieuse d’informations. Je me suis rendu compte que les joueurs, y compris moi-même, ont des habitudes, des “tics” de jeu. Les déceler me permet d’anticiper leurs coups, de me positionner plus efficacement et de choisir la meilleure réponse tactique. C’est comme une partie d’échecs en mouvement rapide, où chaque coup de l’adversaire est une donnée à intégrer pour la suite.

Les Leçons Cachées Derrière Chaque Point

Chaque point joué, qu’il soit gagné ou perdu, est une leçon. Au lieu de me concentrer uniquement sur le résultat du point, je me force à analyser le *processus* qui a mené à ce résultat. Pourquoi ce point a-t-il été gagné ? Était-ce grâce à mon placement, à la puissance de mon coup, ou à une erreur de l’adversaire ? Et si je l’ai perdu, quelle a été ma faute ? Était-ce une mauvaise lecture du volant, un manque de concentration au moment crucial, ou une mauvaise exécution technique ? Cette approche analytique et non jugeante me permet de continuellement m’améliorer. J’ai découvert qu’en étant un observateur attentif de mon propre jeu et de celui de mon adversaire, je débloquais des niveaux de compréhension et d’adaptation que je n’aurais jamais atteints autrement. C’est une forme de concentration “méta” qui rend le jeu encore plus riche et gratifiant.

L’Entraînement Hors Terrain : Renforcer son Esprit Au Quotidien

La Méditation de Pleine Conscience : Mon Secret Anti-Stress

Au-delà du court, j’ai trouvé un allié puissant pour ma concentration : la méditation de pleine conscience. Je sais que cela peut sembler un peu “zen” pour certains, mais croyez-moi, les bénéfices sont tangibles. Chaque matin, je prends 10 à 15 minutes pour m’asseoir en silence, fermer les yeux et me concentrer sur ma respiration. Je laisse les pensées aller et venir sans m’y accrocher. Cet entraînement quotidien de l’esprit me permet de développer une meilleure capacité à rester dans le moment présent, une compétence essentielle sur un terrain de badminton. J’ai remarqué une nette amélioration dans ma gestion du stress, une plus grande clarté mentale et une résilience accrue face aux imprévus. C’est comme muscler son cerveau pour qu’il soit plus fort et plus stable face aux défis.

Les Jeux de Réflexion et d’Stratégie : Garder l’Esprit Affûté

Pour maintenir ma vivacité d’esprit et ma capacité d’analyse, je m’adonne régulièrement à des activités qui stimulent mes fonctions cognitives. Loin des écrans à tout va, je privilégie les jeux de réflexion. Échecs, Sudoku, mais aussi certains jeux de société stratégiques avec mes amis. Ces activités, qui demandent de l’anticipation, de la logique et une grande concentration, sont un excellent entraînement croisé pour le badminton. Elles m’aident à développer ma capacité à planifier plusieurs coups à l’avance, à évaluer différentes options et à prendre des décisions rapides et éclairées sous pression, des compétences directement transposables sur le court. C’est une façon amusante de garder mon cerveau en éveil et de renforcer cette agilité mentale qui fait toute la différence dans un match serré.

Stratégie Mentale Bénéfices pour la Concentration au Badminton Quand l’Appliquer
Respiration Profonde Calme le système nerveux, réduit le stress, améliore la lucidité. Entre les points, après une erreur, avant un service crucial.
Visualisation Positive Prépare le cerveau à l’action, renforce la confiance, améliore l’exécution. Avant le match, pendant les pauses, lors d’une période de doute.
Affirmations Personnelles Remplace les pensées négatives par des pensées constructives, motive. En cas de baisse de moral, pour se recentrer, avant un défi.
Acceptation de l’Erreur Évite la rumination, permet l’analyse objective et l’adaptation rapide. Après une faute, pour passer à autre chose et apprendre.
Observation Active Aide à lire l’adversaire, à anticiper les coups, à ajuster la tactique. Pendant tout le match, surtout lors des échanges complexes.
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Le Mot de la Fin

Chers amis badistes, après avoir exploré ensemble tant d’aspects de la préparation mentale, j’espère sincèrement que ces réflexions vous aideront à aborder vos matchs avec une nouvelle perspective. Le mental est une force souvent sous-estimée, pourtant c’est un véritable game changer. J’ai personnellement constaté à quel point ces techniques peuvent transformer non seulement mes performances sur le terrain, mais aussi mon plaisir de jouer. Ne sous-estimez jamais le pouvoir de votre esprit, c’est un muscle que l’on peut entraîner et qui, bien développé, vous portera bien au-delà de vos espérances. Alors, n’hésitez pas à intégrer progressivement ces rituels à votre pratique et observez les changements.

Quelques Conseils pour un Mental d’Acier

1. La routine post-match : ne sous-estimez jamais le débriefing mental. Juste après avoir quitté le court, prenez quelques minutes pour repasser les moments clés du match. Qu’avez-vous bien fait ? Quelles erreurs avez-vous commises et comment auriez-vous pu les éviter ? Cette analyse à chaud est une mine d’or pour progresser et éviter de reproduire les mêmes schémas. C’est un peu comme un journal de bord mental qui vous aide à mieux vous connaître en tant que joueur et à affiner vos stratégies pour les prochaines rencontres. Je l’ai personnellement intégré à mon entraînement et c’est devenu un outil indispensable pour ma progression continue.

2. Trouvez votre ‘mot-clé’ ou ‘geste-ancre’ : parfois, le simple fait de penser à un mot spécifique ou de faire un geste discret peut vous aider à vous recentrer instantanément. Pour moi, c’est un petit ajustement de la chaussette ou un mot que je me répète mentalement comme ‘calme’. Cela crée une rupture avec le flot de pensées négatives et signale à votre cerveau qu’il est temps de se reconcentrer sur l’action présente. C’est une technique que j’ai piquée aux professionnels et qui est étonnamment efficace pour ne pas se laisser submerger par les émotions en plein match.

3. L’importance du soutien extérieur : parler de vos défis mentaux avec un coach ou un partenaire de jeu de confiance peut faire des merveilles. Ils peuvent vous offrir une perspective différente, vous aider à identifier des schémas de pensée que vous ne percevez pas, ou simplement vous rappeler vos forces quand vous doutez. Ne restez pas seul avec vos frustrations. J’ai eu la chance d’avoir des mentors qui m’ont guidée et c’est souvent grâce à eux que j’ai pu franchir des paliers.

4. Le ‘détachement’ par le rire : parfois, la meilleure façon de gérer la pression est de ne pas se prendre trop au sérieux. J’ai remarqué que quand je suis trop tendue, mes performances baissent. Un petit sourire, une boutade avec mon partenaire (si c’est un double) ou même un rire nerveux après une faute stupide peut relâcher la tension et ramener un peu de légèreté. Le badminton est un jeu, après tout ! Cela aide à maintenir une ambiance positive et à ne pas laisser la frustration s’installer durablement.

5. Fixez-vous des micro-objectifs ludiques : pour garder la motivation et la concentration, surtout dans les moments difficiles, je me fixe parfois des mini-défis. Par exemple, ‘gagner le prochain échange en plaçant le volant dans le coin gauche’, ou ‘réussir trois amortis d’affilée’. Ces petits jeux dans le jeu transforment la pression en plaisir et vous maintiennent engagé. C’est une façon de rester activement concentré et de ne pas se laisser aller à la passivité, tout en ajoutant une couche de fun à l’effort.

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Ce Qu’il Faut Retenir Absolument

En fin de compte, chers passionnés de badminton, ce que je veux que vous reteniez de tout cela, c’est que votre force mentale est un atout inestimable, à parfaire au même titre que votre revers ou votre smash. Cultiver un esprit serein avant et pendant l’effort, apprendre à gérer les montagnes russes émotionnelles, maîtriser votre souffle comme un allié invisible, et utiliser la visualisation et les affirmations positives sont des piliers fondamentaux. N’oubliez jamais d’accepter l’erreur comme une étape d’apprentissage et de toujours vous adapter tactiquement. Enfin, une bonne hygiène de vie, avec un sommeil réparateur et une alimentation équilibrée, est le carburant de cette concentration durable. Tous ces éléments, mis bout à bout, ne vous transformeront pas seulement en un meilleur joueur de badminton, mais en une personne plus résiliente et plus consciente, sur et en dehors des courts. C’est un entraînement constant, une aventure personnelle qui rend le sport encore plus enrichissant. Alors, prêt(e) à prendre le contrôle de votre mental ?

Questions Fréquemment Posées (FAQ) 📖

Q: Comment faire pour ne pas perdre le fil quand la pression monte en plein match ?

R: Ah, la pression ! On connaît tous ça, cette boule au ventre quand le score est serré et que chaque point compte. J’ai moi-même eu des matchs où j’avais l’impression que mes jambes ne répondaient plus et que ma tête s’embrouillait.
La clé, mes amis badistes, c’est d’avoir une routine mentale et physique pour ces moments-là. Dès que je sens que le stress monte, je prends une grande inspiration profonde – on parle de respiration ventrale – ça aide vraiment à calmer le système nerveux.
Puis, juste avant de servir ou de recevoir, j’ai mon petit rituel : je tapote ma raquette trois fois sur le cordage, je fixe un point précis de mon adversaire, et je me répète mentalement une phrase positive, comme un mantra.
“Je suis fort, je suis précis.” Croyez-moi, c’est bête comme chou, mais ça recrée un petit cocon de confiance autour de vous et ça recentre votre attention sur ce que vous contrôlez.
C’est comme un mini-reset mental avant chaque échange crucial. J’ai constaté que les joueurs qui réussissent le mieux ne sont pas ceux qui ne ressentent jamais le stress, mais ceux qui ont appris à le transformer en énergie positive.

Q: Quels sont les exercices mentaux que l’on peut pratiquer en dehors du court pour muscler son jeu intérieur ?

R: Le mental, ça se travaille comme un smash ou un dégagé ! Et la bonne nouvelle, c’est qu’on peut le faire n’importe où. Personnellement, j’ai découvert la puissance de la visualisation.
Chaque soir, avant de dormir, je m’imagine en train de réussir mes plus beaux coups, de faire des points incroyables, de maîtriser des situations difficiles.
Je visualise même l’odeur du gymnase, le bruit du volant, la sensation de ma raquette. C’est une sorte de “répétition générale” dans ma tête qui ancre la réussite.
La méditation est aussi un outil précieux. Même 5 à 10 minutes par jour pour vider son esprit et se concentrer sur sa respiration peuvent faire des miracles pour votre concentration générale, sur et en dehors du terrain.
Un ancien pro que je suis sur les réseaux expliquait que la méditation l’aidait à être prêt dès le début du match, un avantage énorme. Et puis, il y a la kinésiologie, une approche un peu plus “corps-esprit” qui m’a personnellement aidée à mieux comprendre comment mon physique et mon mental s’influencent.
Expérimentez ces techniques, vous verrez ce qui vous parle le plus, mais l’important est la régularité !

Q: Comment gérer la frustration après une erreur bête ou un point perdu, surtout quand ça nous énerve et qu’on perd le fil du match ?

R: Ah, la frustration ! C’est le petit diable qui murmure à notre oreille après une faute stupide. Je l’ai tellement vécue cette sensation, cette envie de jeter ma raquette ou de m’en vouloir.
Le truc, c’est de comprendre que c’est humain de faire des erreurs. Ce qui compte, c’est comment on rebondit. Mon astuce, c’est de me donner une “micro-période” pour l’émotion.
Une seconde, deux secondes maximum. Je respire un grand coup, je lâche le volant, et je me dis “C’est fait, c’est derrière moi. Prochain point.” Je me suis entraînée à ça : dès que le point est terminé, je le “dépose” symboliquement sur le côté du terrain et je me tourne vers le prochain.
Inutile de ressasser ce qui est passé, ça ne changera rien au score et ça ne fera qu’alimenter le cercle vicieux de la déconcentration. Un bon exercice, c’est de se concentrer sur le plaisir du jeu, plutôt que sur le seul résultat.
Et surtout, ne sous-estimez jamais le pouvoir du “self-talk” positif. Au lieu de vous gronder, encouragez-vous. Dites-vous : “Allez, ce n’est qu’une erreur, je peux faire mieux !” C’est comme ça qu’on construit une résilience mentale, point après point, match après match.
J’ai vu des joueurs revenir de situations désespérées simplement parce qu’ils refusaient de laisser la frustration prendre le dessus.

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